De plus en plus récurrents, orages et inondations sont susceptibles de provoquer de nombreux dégâts sur votre véhicule. L’olivier Assurance vous donne la marche à suivre pour être indemnisé le plus rapidement possible en cas de catastrophes naturelles.
Avant tout, commencez par vous assurer que votre véhicule ne causera pas de dommage ultérieur aux intempéries et ne présente aucun danger en l’état actuel (risque de chute, d’incendie…). Ensuite, répertoriez tous les dégâts causés par les éléments naturels (orages, inondations, vents violents, grêle…) et procédez comme suit :
Si vous avez subi des orages, des inondations ou d’autres causes naturelles (tornades, tempêtes, vent violents, grêle…), deux garanties de votre assurance auto vous couvrent en cas de destruction partielle ou totale :
Cette garantie est limitée en montant à la valeur de remplacement du véhicule assuré, chiffrée par l’expert, déduction faite de votre franchise contractuelle. Cette garantie ne s’applique pas en cas de reconnaissance officielle de catastrophe naturelle.
Cette garantie ne s’applique qu’après la publication au Journal Officiel de la République française d’un arrêté interministériel de catastrophes naturelles, vous avez 10 jours à compter de la parution pour faire votre déclaration. Une franchise unique de 380 euros, fixée par arrêté ministériel vous sera appliquée si vous êtes un particulier et le montant de l’indemnisation sera limité à la valeur de remplacement de votre véhicule assuré.
Attention : la garantie « responsabilité civile » ou « tiers », concernant 35 % des assurés sur le territoire français, ne couvre pas les dommages causés sur votre véhicule en cas de tempête ou de catastrophes naturelles déclarée.
Conclusion : il est impératif de prendre rapidement contact avec votre assureur, même si l’état de catastrophes naturelles n’a pas encore été déclaré. Si votre véhicule est réparable, il vous est conseillé de le déposer chez un garagiste agréé par votre assurance auto, pour lequel vous ne devez avancer aucun frais.
Consultez le site de la FFA (Fédération Française de l’Assurance) sur le sujet.
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